La Maison des mots perdus

Que ce soit pour nous faire rêver ou pour nous mettre en garde, les contes sont depuis longtemps une partie essentielle de la littérature jeunesse. Leurs mondes, tantôt féériques, tantôt inquiétants, ne laissent personne indifférent et continuent de nous inspirer. Par leurs messages et leurs pensées universels, ils ont traversé les générations et résonneront encore à l’oreille des enfants bien longtemps après nous.

Si vous souhaitez vous replonger dans ces histoires qui vous ont tant marqué, ou qui vous marquent encore, l’anthologie Les Plus Beaux Contes de notre enfance saura vous combler ! D’Ali Baba et les Quarante voleurs à Cendrillon, en passant par La Petite Fille aux allumettes, redécouvrez une vingtaine de contes incontournables.  

Aujourd’hui, c’est un conte de notre temps qui mérite d’être mis en avant : La Maison des mots perdus de Kochka.

 « Ta maman a perdu les mots mais elle n’a pas perdu les chansons. Les chansons c’est les mots gorgés de la musique du courage. »

Ravi vit heureux sur la montagne, entouré de ses parents. Même si sa mère, Asha, ne parle pas français, elle chante pour son fils en bengali. Joyeux et insouciant, Ravi comprend pourtant que sa famille ne lui a pas raconté toute son histoire. Alors, le jour de ses dix ans, il décide de découvrir ce qu’on lui a caché.

Si l’histoire d’un petit garçon qui vit à Sainte-Marie-aux-Mines, en Alsace, n’a a priori pas les codes du conte, le récit nous plonge dans un univers poétique et chaleureux qui a l’air coupé du reste du monde, presque merveilleux…

Notre héros, Ravi, est entouré de personnages tous différents mais tellement attachants. Le gardien de l’école « samouraï », le papa, médecin qui sauve les gens tel un chevalier, sont tous là pour le soutenir, le protéger et l’aider à grandir.

Les Plus Beaux Contes de notre enfance et La Maison des mots perdus sont tous deux disponibles en grands caractères.